Présidente de la Société Francophone de Santé et Environnement

Co-président du ConseilScientifique et du Comité d'organisation du Congrès, IRSN

Co-président du Conseil scientifique et du comité d'organisation du congrès, Pôle Pollution Santé Longévité de Lille, Université de Lille

Vice-Présidente de la Métropole Européenne de Lille – Climat – Transition Ecologique et Energie, Première Adjointe au Maire de Lille – Transition Ecologique et Développement Soutenable, après avoir été Conseillère Municipale déléguée à la Mixité et à l’Innovation Sociale (2017-2020) Conseillère Municipale déléguée au Plan Lillois de l’Habitat (2014-2017), Adjointe au Maire de Lille chargée du Logement et de la Rénovation Urbaine (2008-2014) et Députée du Nord (2012-2017).


Audrey LINKENHELD a été notamment rapporteure à l’Assemblée Nationale de la loi relative à la mobilisation du foncier public en faveur du logement et au renforcement des obligations de production de logement social, et de la loi pour l’accès au logement et à un urbanisme rénové.

Ambassadeur de Belgique en France et à Monaco

Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)

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Robert Barouki est PUPH, Directeur de l’unité Inserm 1124 à l’Université de Paris et chef de Service de Biochimie Métabolomique et Protéomique, Hôpital Necker Enfants Malades. Il a consacré ses travaux de recherche récents à l’étude des mécanismes de toxicité des polluants de l’environnement comme la dioxine, les pesticides et les perturbateurs endocriniens et les effets de mélanges de toxiques. Robert Barouki s’intéresse au concept d’exposome et aux approches multidisciplinaires et intégrées dans le domaine environnement/santé et dans le domaine des maladies métaboliques. Il coordonne ou participe à plusieurs programmes européens. Dans une perspective plus générale, il s’intéresse de près à la communication de concepts et de données scientifiques au grand public. Il est le lauréat OPECST-Inserm 2018.

Directrice générale du Service Public de Wallonie - Agriculture, Ressources naturelles et Environnement (SPW ARNE)

Santé publique France

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Loïc RAMBAUD est épidémiologiste à Santé publique France, chargé de projet en biosurveillance au sein de la direction santé environnement et travail. Il coordonne les activités de Santé publique France pour le le programme Européen de biosurveillance HBM4EU. Il est chargé d’organiser la réflexion au sein de l’agence pour définir les modalités de poursuite du programme national de biosurveillance de façon à compléter et poursuivre les travaux de biosurveillance précédemment engagés à SpFrance (ENNS, Elfe, Esteban).

Institut Pasteur de Lille, Pôle Pollution Santé Longévité

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Le Dr Fabrice Nesslany, Expert Toxicologue ERT (European Registered Toxicologist), est directeur de recherche et chef du laboratoire de toxicologie génétique de l'Institut Pasteur de Lille qui réalise les tests réglementaires et de screening de génotoxicité. Au travers l’équipe d’accueil universitaire EA 4483 (IMPECS pour IMPact de l'Environnement Chimique sur la Santé), il participe à de nombreux programmes de recherche notamment dans le domaine de la nanotoxicologie (NANOGENOTOX, NANOREG 1, 2Nanopol,...) et des effets toxiques de la pollution atmosphérique (MEGATOX, MEGacity Aerosols chemical characterization and TOXicity ; PARTICLES« PARTICulate matter Lung cancer Effects » ; NANOPULMOTOX,...).

Il a de nombreuses nominations en tant qu'Expert Toxicologue dans les Agences Françaises de Sécurité Sanitaire (ANSES, Ansm, HCSP) et il est également expert auprès de l'OCDE.

Enfin, le Dr Fabrice Nesslany est Président de la Société Française de Toxicologie depuis novembre 2019.

Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris)

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Enrico Mombelliest ingénieur en modélisation QSAR (Relations Quantitatives entre Structure chimique et Activité biologique) dans l’unité « Modèles en écotoxicologie et toxicologie » à l’INERIS (Institut national de l’environnement industriel et des risques). Son parcours scientifique a toujours été axé autour de la compréhension de la relation entre la structure des (bio)molécules (protéines, lipides, substances chimiques) et leur fonction biologique en utilisant des 'approches expérimentales et computationnelles.

École des hautes études en santé publique (EHESP)

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Pharmacienne et docteur en toxicologie, je suis enseignante chercheuse à l’EHESP, Irset. Après un début de carrière dans les agences sanitaires française (SPF, ANSES), j’ai intégré l’EHESP et l’Irset dans le but d’enseigner la toxicologie en santé publique et d’améliorer les outils toxicologiques utilisés dans la démarche d’évaluation des risques sanitaires liés aux expositions aux mélanges de substances chimiques, au travers de 2 questions de recherche : 1) quels mélanges considérer dans l’étude des risques ? (Hiérarchisation, regroupement, classification, et mesure biologique non ciblée) ; 2) quels indicateurs pertinents pour l’étude des risques liés aux mélanges ? (Facteurs de toxicité relative, métabolomique et perspectives dans l’évaluation du risque).

École des hautes études en santé publique (EHESP)

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Je suis enseignante chercheuse en santé environnement à l'EHESP, UMR Arènes. Après mon doctorat en hydrologie & hydrogéologie quantitatives et une expérience en bureau d’études en environnement, j'ai effectué un post-doctorat au sein du réseau de recherche pancanadien COMERN sur le mercure où je me suis spécialisée dans l’analyse des systèmes complexes environnementaux et les méthodologies multicritères d’aide à la décision pour la protection de la santé. Depuis 2010 à l'EHESP, je développe un axe transversal d’expertise, recherche et formation sur l'urbanisme favorable à la santé en adoptant une approche écosystémique et intersectorielle de la santé. Je m'intéresse notamment aux démarches d'évaluation d'impact (EIS, EIE, ...) comme leviers d'action pour une meilleure intégration de la santé à différentes échelles des territoires.

Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE)

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David Demortain est sociologue, directeur de recherche INRAE, et directeur du Laboratoire Interdisciplinaire Sciences Innovations Sociétés (LISIS). Il conduit des recherches sur l'évaluation des risques et la science réglementaire, le développement de ses méthodes et concepts, ainsi que leurs effets sur la réglementation des substances chimiques. Il a notamment publié un livre sur les collèges d'experts internationaux et leur influence sur les normes internationales (Scientists and the Regulation of Risk, Edward Elgar Publishing, 2011), plusieurs articles sur les controverses en matière d'évaluation des risques des OGM, et travaille aujourd'hui sur les rapports entre recherche et science réglementaire, à partir de l’exemple de la toxicologie. Son dernier ouvrage est une histoire de la conception et de l’usage de techniques de calcul des risques à l’agence environnementale américaine (The Science of Bureaucracy. Risk Decision-Making and the Environmental Protection Agency, MIT Press, 2020).

Président de la Section Méthodologie de l’évaluation des risques et impacts sanitaires, Anses

Christophe ROUSSELLE Vétérinaire-Toxicologue et diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique est responsable depuis près de 15 de l’Unité d’Evaluation des Substances Chimiques à l’ANSES. Il coordonne notamment à ce titre le programme d’élaboration des Valeurs Sanitaires de Référence, ainsi que les évaluations de risques pour les produits de consommation. Il est également expert depuis plus de 12 ans au Comité Européen d’Evaluation de la Sécurité des Produits de Consommation. Christophe ROUSSELLE anime depuis janvier 2019 la section Méthodologies d'évaluation des risques et des impacts sanitaires de la SFSE.

SPAQUE

Marie JAILLER, diplômée de l’Université de Paris XII en spécialisation pollution atmosphérique en 1997, a d’abord réalisé des évaluations des risques sanitaires en France pendant 5 ans, puis en Belgique. Elle est responsable depuis près de 10 ans du Service des évaluations des risques sanitaires et environnementaux à la SPAQUE, un organisme en charge de la réhabilitation des sites pollués orphelins en Wallonie. Elle participe également aux travaux portant sur les outils d’évaluation des risques ainsi que sur les guides méthodologiques pour l’Administration wallonne. Son équipe est actuellement impliquée dans le projet SANISOL, axé sur la qualité des légumes et fruits cultivés dans les jardins potagers. Depuis avril 2016, Marie JAILLER organise les réunions de la section Méthodologies d'évaluation des risques et des impacts sanitaires de la SFSE (secrétariat).

Institut Scientifique de Service Public (ISSeP)

S. Remy est biologiste de formation. Après avoir travaillé une petite dizaine d'années dans le domaine de la coopération au développement et de l'aide humanitaire, S. Remy a rejoint en 1999, le service d'Ecotoxicologie de l'Institut de Service Publique (ISSeP) de Wallonie. En 2003, elle est appelée à mettre sur pied la Cellule Environnement Santéà la demande des autorités publiques pour décliner l'approche régionale du premier Plan d'Action National Environnement Santé. Aujourd'hui, elle coordonne au sein de l'ISSeP, une équipe de 11 personnes. Elle supervise une dizaine de projets dans les domaines de l'évaluation des risques sanitaires. Le développement d'un système d'informations géographiques en environnement santé, la mise en œuvre de programmes de biomonitoring et les risques liés aux pesticides constituent des activités en croissance au sein de la cellule.

Modérateur de l'Atelier "Jeunes Chercheurs", Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)

Epidémiologiste, Directeur de recherche émérite à l'Inserm
Domaines de recherche : méthodologie épidémiologique et statistique, reproduction, périnatalité.
Responsable de l'équipe "Epidémiologie de la reproduction et du développement de l'enfant" (Inserm U1018) (2010-2014).
Directeur de l'Ecole Doctorale de Santé Publique (Université Paris-Saclay (2009-2018).

Politologue - Conseillère municipale en charge de la Direction du logement, de l’environnement et de l’architecture de la Ville de Lausanne

Natacha Litzistorf, Conseillère municipale en charge de la Direction du logement, de l’environnement et de l’architecture de la Ville de Lausanne depuis le 1erjuillet 2016, est née le 28 juin 1968 à Pully. Elle a étudié les sciences politiques et de l’environnement à l’Université de Genève où elle obtient une Licence ès science politique, puis à l’Université de Neuchâtel une Formation post-grade en écologie et en sciences de l’environnement, et ensuite à l’Université catholique de Louvain-la-neuve (Belgique) un Certificat en politique et droit communautaire de l’environnement.

Après avoir été, dès 1994, Chargée de projets et Directrice adjointe de l’associationequiterre – partenaire pour le développement durable, Natacha Litzistorf en prend la direction en 2001. Engagée pour une société et des quartiers durables, elle participe en 2009 au développement de l’outil Quartiers durables by SméOavec les Offices fédéraux de l’énergie (OFEN) et du développement territorial (ARE), l’Etat de Vaud, la Ville de Lausanne et le Schéma directeur de l’Ouest lausannois (SDOL). De 2014 à 2017, elle a présidé la Fédération romande des consommateurs(FRC). Elle a également été et reste membre de plusieurs associations, fédérations et institutions en lien avec la promotion de la santé, l’alimentation, le développement durable et le développement territorial telles que le Fonds suisse pour le paysage, l’Association internationale pour la promotion de la santé et du développement durable/Programme européen Villes-santé de l’Organisation mondiale de la santé, le Conseil de l’organisation du territoire(COTER), ainsi que différents organismes communaux, cantonaux ou fédéraux en relation avec son domaine d’activités.

Dès 2008, elle entame sa carrière politique chez Les Vertsen entrant au Conseil communal de la Ville de Lausanne (Législatif), dont elle assume la présidence entre 2013 et 2014. En 2016, elle est élue à la Municipalité de Lausanne(Exécutif)et dirige depuis la Direction du logement, de l’environnement et de l’architecture.

Docteur Françoise SCHAETZEL est Conseillère municipale, Ville de Strasbourg et Conseillère communautaire Eurométropole de Strasbourg. Elle a été Déléguée en charge de la qualité de l’air et de la santé environnementale de 2014 à octobre 2018, mois où elle a quitté l’exécutif de la métropole car étant en désaccord avec son Président, soutien du Grand contournement ouest, qu’elle considère comme un projet inutile et défavorable à la qualité de l’air.

Elle est élue depuis avril 2014 et a développé une politique de la qualité de l’air sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg, 500 000 habitants, 33 communes. La collectivité est lauréate de l’appel à projet « villes respirables » et met en place des actions de qualité de l’air dans l’ensemble des politiques structurantes de la métropole : urbanisme, habitat, mobilité, agriculture et secteur industriel, secteur résidentiel.

Elle a été à l’initiative en 2018 de l’Alliance des collectivités françaises pour la qualité de l’air, association regroupant des élus et des agents engagés dans cette cause.

Professionnellement, Françoise Schaetzel est médecin, spécialiste de santé publique. Elle a été médecin généraliste pendant dix ans avant d’intégrer les services du ministère de la santé. Elle a été également professeur à l’Ecole nationale de santé publique en France (actuelle Ecole des hautes études en santé publique).

Sa dernière fonction a été celle de haut fonctionnaire dans une instance interministérielle, chargée d'un champ de compétences qui s’étend à l’ensemble des questions relatives à la santé, aux affaires sociales, à la solidarité, à l’emploi, et au travail. Elle est à la retraite depuis 2018.

Elu député du Rhône(11ème circonscription à la fois urbaine et rurale) – Membre du groupe LaREM de l’Assemblée Nationale

Autres mandats politiques :
- Membre du Bureau de la Commission permanente Développement Durable et Aménagement du Territoire de l’Assemblée Nationale
- Président du Conseil National de l’Air depuis Juillet 2018
- Membre de l’OPECST (Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques)
- Membre du Conseil National de la Transition Ecologique
- Co-Rapporteur de la mission parlementaire d'information commune sur le suivi de la stratégie de sortie du glyphosate
- Rapporteur de la Loi d’orientation des mobilités TitreIII « Développer des mobilités plus propres et plus actives »
- Vice-Président du Groupe d’études « Hydrogène » de l’Assemblée Nationale
- Membre de la Mission d’Information sur les perturbateurs endocriniens présents dans les contenants en plastique
- Membre de la mission d’information sur l’incendie d’un site industriel LUBRIZOL à Rouen
- Membre du groupe d’études Santé-Environnementale de l’Assemblée Nationale
- Co-rapporteur de l’étude OPECST sur la production d’énergie dans le secteur agricole
- Rapporteur OPECST sur les sujets Spatiaux (des lanceurs aux applications satellitaires)
- Membre de la Commission d’enquête sur l’alimentation industrielle : qualité nutritionnelle, rôle dans l’émergence de pathologies chroniques, impact social et environnemental de sa provenance
- Ambassadeur France Mobilités
- Membre des groupes d’amitié France/Portugal et France/Nouvelle-Zelande

Député Européen 

En 2001, Damien Carême est élu maire de Grande-Synthe, dans le Nord, et le reste jusqu’en mai 2019, date à laquelle il entre pour la première fois au Parlement européen.
Durant 18 ans, à Grande-Synthe, il mène une politique mue par l’écologie sociale et transforme ainsi radicalement la ville. Capitale française de la biodiversité en 2010, Grande-Synthe voit naître des jardins partagés, des quartiers totalement repensés, des repas 100% bio et locaux dans toutes les cantines, une démarche d’autonomie alimentaire, des transports en commun gratuits, un minimum social garanti (MSG) pour les habitants vivants sous le seuil de pauvreté, une université populaire, des ateliers de fabrique de l’autonomie… Un objectif, clair : créer du sens commun et véritablement entrer « en transition ».
Fin 2015, le conflit syrien pousse à l’exil des milliers de personnes. A Grande-Synthe, ces femmes, ces hommes et ces enfants réfugié.e.s arrivent et stagnent dans des conditions indignes : Damien Carême, contre l’avis de l’Etat, réagit et avec l’aide de Médecins Sans Frontière, met en place le premier camp humanitaire sur le territoire français. Dans la foulée, il fonde l’Association Nationale des Villes et Territoires Accueillants, qu’il préside.

Ce qui l’anime ? Poursuivre les missions et les combats entamés à Grande-Synthe, agir à grande échelle en faveur de l’écologie sociale, respectueuse de la dignité, des droits fondamentaux et de la justice environnementale.

Autres faits marquants :-Président de l'Association des Maires Ville & Banlieue de France en 2014-2015 ; Prix Nord/Sud du Conseil de l'Europe en 2018 ; Prix Éthique et Société, avec Mention Spéciale du Jury, de la fondation Pierre Simon en 2016 ; 9e "Meilleur maire du monde", décerné par la City Mayor Fondation en 2016 ; 2016, « On ne peut rien contre la volonté d’un homme » (éd. Stock), livre écrit avec Maryline Baumard.

Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI)

Université de Lorraine – Faculté de médecine

Université de Rennes, École des Hautes Études en Santé Publique (EHESP), Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), Institut de recherche en santé, environnement et travail (Irset)

Centre Léon Bérard, INSERM UA8 : Radiations

Institut Ecocitoyen pour la Connaissance des Pollutions / Centre Norbert Elias / Laboratoire de sciences sociales et appliquées

Territoires, Villes, Environnement et Société (TVES), Université du Littoral Côte d’Opale (ULCO)

LADYSS, Université Paris Nanterre

Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)

Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS)

Laboratoire Interuniversitaire des Systèmes Atmosphériques (LISA), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)

Centre hospitalier Université de Lille, Institut Pasteur de Lille

ISGlobal, Barcelona Institute for Global Health

Institut Pierre Louis d’Épidémiologie et Santé Publique

Centre hospitalier universitaire de Besançon

CNRS, Laboratoire Chrono environnement, Université de Franche-Comté

Sciensano (Centre de recherche et institut national de santé publique en Belgique)

Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN)

Centre Léon Bérard, Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)

Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris)

Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)

Université de Lille

Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN)

Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris)

Université de Rennes, Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)

SKEMA Business School

Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)

Ministère des Solidarités et de la Santé

Agence Régionale de Santé Nouvelle Aquitaine

ALICSE Bordeaux

Service Parisien de Santé Environnementale (SPSE)

Service Parisien de Santé Environnementale (SPSE)

Université de Lille, IMT Lille Douai

Communauté Urbaine de Dunkerque